… Calo part en live …

Et mon coeur fond …

Lundi dernier, j’ai donc eu la chance d’assister à un concert privé de Calogero, organisé par M Radio (qu’en vrai, je n’écoute pas mais chuuuuuut !).

Rendez vous est pris en début de soirée dans les locaux de sa maison de disques, Universal.

Une petite centaine de privilégié.e.s y étaient convié.e.s. Une petite salle, un bar – offert par la maison de disques -, des lumières tamisées, une ‘boite à selfies’ offraient un cadre très cosy pour assister à un joli moment.

Calo est arrivé et mon coeur a une nouvelle fois fait ‘boum’. Avec ce petit foulard autour du cou, il était incroyablement sexy.

Des anciens titres très connus (Face à la mer, 1987) et des nouveaux ont emmailés ce petit set intimiste.

Sa voix toute en fêlures m’a arraché quelques larmes et les très belles ‘rien comme les autres’, dénouement heureux’ ou ‘le hall des départs’ m’ont chaviré le coeur.

Le moment était hors du temps et m’a fait un bien fou. Je le dis souvent mais Calo, un verre de vin blanc et bien accompagnée et vous avez une certaine idée du bonheur.

Une petite pointe de regret parce que le set était bien trop court – plus que prévu – et qu’en plus, je l’ai raté à la sortie et que je l’avoue bien volontiers, j’aurai bien aimé le croiser.

Mais il m’avait manqué depuis le 2 janvier, c’est qu’on y prend vite goût à ces moments de plaisir !!

Jess’ –

(Et en attendant, je n’ai pas pu faire ma prise de sang alors que j’étais prête et ca m’a énervé et j’ai adoré cette phrase de Zaho de Sagazan lors des Victoires : ‘Etre sensible, c’est être vivant. Et on n’est jamais trop vivant’